Debout L'Auvergne

Aujourd’hui Hollande, Sarkozy, nous dise "aimer ce drapeau, cette nation, cette hymne que nous avons détruits". Certes les djihadiste du 13 novembre ont porté le coup d’épée contre la France, mais ceux qui les ont armée porte un costume et vivent à l’Élysée.

Les attentats du 13 Novembre, on mit en lumière l’échec de la politique de libre circulation permis par les accords de Schengen. Ces mêmes accords ardemment défendus depuis des années par ses instaurateurs, membres des deux principaux partis de gouvernement et ex ou actuel président de la république.

Sans Schengen, les terroristes n’auraient pu traverser si facilement la frontière Franco-Belge, sans être repéré.

Sans Schengen, les fous de dieux qui ont attaqué notre nation n’auraient pu partir en Syrie se former au maniement des armes et poursuivre leur endoctrinement.

Mais, par honnêteté intellectuel, nous devons reconnaître que Schengen, n'est pas leur seule erreur qu'ils aient commise. Parmi les individus qui ont attaqué notre nation, la quasi-totalité été connu pour des faits pénaux ou délictuelle. Le logeur des terroristes, Jawad Bendaoud a été condamné en 2008 à 8 ans de prison pour "coup mortel", pour avoir tué à coup de hachoir un jeune homme de 16 ans. 2008 + 8 = 2016 !!! Pourtant, il s'est retrouvé libéré en 2013. Cinq ans pour un meurtre, voilà la justice qui est rendu, contre l'intérêt du peuple.

Aujourd'hui ceux qui ont instauré ce système dangereux pour notre nation et notre peuple, doivent assumer une responsabilité complice dans les récents attentats. Ils n'ont certes pas agi directement à ce but, mais ont laissé faire, créant les conditions nécessaires à leur réalisation.

 Les hommes et femmes politiques ayant participé à prôner une idéologique dangereuse amenant à l'ouverture de nos frontières, laissant notre pays sans protection face au menace extérieure, devrait enfin prendre leur responsabilité. Ces derniers devraient normalement, quitter leur fonction élective dans les plus brefs délais et cesser toutes actions politiques.  

Comme cette normalité risque de rester veine, chaque citoyen doit aussi prendre sa part de responsabilité aux élections, et cela, dès le 6 décembre. Voter pour les participants du laxisme sécuritaire, c'est voter pour le terrorisme. En temps de guerre, il faut choisir un camp, Debout La France, défendra celui de la nation et du peuple, contre tous ceux souhaitant notre péril collectif.