Debout L'Auvergne

Autrefois ardemment défendu par la gauche et l’extrême gauche, la droite, c'est elle aussi converti à l’internationalisme. La gauche entrainé dans ses veilles lune idéologique, on pouvait l’admettre, mais qu’une partie de la droite n’est pas hésité à les rejoindre, poussé par leur folie libérale et européiste, plus difficilement.

On nom de cette Union européenne - et de la doxa libérale qui la domine- la droite gouvernementale a oublié la nation, quitte à la réduire en cendres. Il préfère désormais travailler aux intérêts de l’Europe Allemande. L’UE n’a d’ailleurs pas eu trop à insister pour qu’ils votent en faveur du Traité de Lisbonne en 2007.

La gauche, quant à elle, qui jadis, disait défendre le peuple, et désormais prêt à le trahir pour préserver l’avenir de l’internationalisme, ennemi des peuples et du peuple français. Il existe désormais la jurisprudence Alexis Tsipras, qui consulta son peuple par référendum et l’abandonna une fois qu’il se fut exprimé, au nom de l'Union européenne – ne soyons pas naïf, le front de gauche ferait pareil s'il était au pouvoir en France.

La droite qui a perdu pour boussole la nation, la gauche qui se fait sans le peuple et vous obtenez soixante millions d’orphelins.

Face à cette idéologie destructrice qu’est l’internationalisme, nous devons proposer un patriotisme moderne, capable de répondre aux enjeux du réel, tous comme aux nécessités humaines. Libérer la nation du joug des institutions supranationales, sans l’enfermer dans une vision unilatérale et isolationniste. Participer à la construction de l’Europe des coopérations nationales, allant de l'Atlantique à l’Oural. Bref, poursuivre le destin de la France, libre, indépendante, défendant fièrement sa culture, son identité, en tenant son rôle de puissance diplomatique.

Par ce patriotisme moderne, nous devons être à même de mener une politique économique, d’un État stratège, défendant à la fois les intérêts nationaux et les objectifs de solidarité, tout en préservant la liberté d’entreprendre, pour nos artisans, nos commerçants et nos indépendants. Une vision participative, ou, entrepreneur, administrateur, employé, ouvrier, travailleraient ensemble à la création des richesses dans notre pays. Tous simplement, être le moteur de notre développement, en remplissant le double objectif de prospérité économique et de progrès social.

Ce patriotisme moderne est possible, faut-il encore que la nation et avec elle, le peuple, soit DEBOUT.