Debout L'Auvergne

Avec le développement des mesures libre-échangistes, et la probable mise en place du TAFTA, c’est la santé des consommateurs Français dont il est question. Les gouvernements successifs ont, à raison, prirent des mesures sanitaires, pour encadrer les activités économiques, et prévenir les consommateurs de problème de santés. Cela est essentiel, et le récent scandale de la viande de cheval, montre que dans ce domaine il y a toujours à faire. Sauf qu’en entérinant la possibilité de prendre des mesures protectionnistes, comme nous l’impose l’Union Européenne, on trompe le consommateur. On introduit sur notre marché des produits de respectant par les normes. A fortiori, notre producteur, se voit alors pénalisé financièrement, devant supporter d’importants couts d’investissement, quand, leurs concurrents étrangers eux y sont exempts, pouvant vendre à des prix plus compétitifs, des produits plus néfastes pour la santé.  Qu’on impose à nos producteurs des normes pour protéger les consommateurs, est une bonne chose, mais qu’on ait, de grâce, la même exigence avec les produits importés.

Et demain la situation s’aggravera avec la mise en place du TAFTA, les États ne pourront plus imposer aucune norme, sous peine d’être poursuivi devant un tribunal d’arbitrage, pour entrave à la liberté du marché, courant le risque de condamnation à payer de lourdes amendes financières. Ainsi, l’exploitation du gaz de schiste où les OGM (l’union européenne a déjà pris des mesures dans ce sens en légalisant 19 OGM) pourraient bientôt être légalisés sur notre territoire.

Si, aujourd’hui le consommateur français n’est plus protéger, c’est avant tout car il n’est plus représenté dans les institutions dirigeantes, converti au dogmatisme du libre-échange, que ce soit aux institutions européenne ou Française.

http://www.debout-la-france.fr/communique/nicolas-dupont-aignan-denonce-la-decision-de-l-ue-d-autoriser-19-ogm