La désunion politique … talon d’Achille du Cantal !
Le combat pour garder le service réanimation du CMC souligne, une nouvelle fois, la désunion des élus pour l’action !
De la suppression du train de nuit au retard sur les travaux routiers (RN122) en passant par le développement économique en jachère, l’affaiblissement des services publics, l’absence de volonté à rechercher des emplois publics régaliens au bénéfice du Cantal … les coups bas sur la « Réa » démontrent l’irresponsabilité des gouvernants, des exécutifs politiques.
En quoi ?
Ce samedi 15 novembre, 900 citoyens défilaient pour alerter une nouvelle fois le gouvernement. 7 conseillers généraux sur 27 - essentiellement de l’arrondissement d’Aurillac, mais aucun de … « gauche » - aucun député, aucun sénateur, très peu de maires : comment les gouvernements successifs et ce depuis 1988 pourraient-ils être émus de la désertification du Cantal ???
Depuis plus de 15 ans, je propose – et nous l’avions réalisé pour le tunnel du Lioran !- que les élus, accompagnés des forces vives socioprofessionnelles, se rendent à Matignon pour imposer, par la force de leur union, de leur volonté, de leur ambition au service de l’intérêt général, l’indispensable solidarité de la France pour le Cantal, solidarité à travers : péréquation financière, maintien des services publics, installation d’emplois régaliens, amélioration de l’ouverture du Cantal … pour enfin, casser cette déprise démographique qui, depuis 25 ans, tue le Cantal !
Le Cantal a besoin d’être ré-animé !
François Vermande
A découvrir aussi
- La dangereuse commission européenne
- 18 juin : un appel d’une brûlante actualité
- De Gaulle sa vision du sionisme et du conflit Israel Palestine - 1967